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C'est partiC’est désormais l’isolation du bâtiment et le mode de chauffage qui définissent la catégorie des logements (de A à G), et non leur consommation en gaz ou en électricité.
40 %. Tel est le pourcentage de logements qui pourraient voir leur étiquette énergétique se dégrader. On le sait, les logements sont classés de A à G, en fonction de leur performance énergétique – A étant la meilleure note et G la moins bonne, pour les logements les plus énergivores.
Mais pourquoi un tel changement ? Car une réforme, passée en toute discrétion cet été, modifie le mode de calcul de ces étiquettes. Jusqu’alors, c’était la consommation de gaz ou d’électricité qui était prise en compte. Désormais, c’est l’isolation du bâtiment et le mode de chauffage qui définissent ces différentes catégories. Résultat : plusieurs centaines de milliers de logements, bien isolés, certes, mais chauffés au fioul ou au gaz, risquent de voir leur note dégringoler.
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Cette réforme du classement énergétique des logements n’est pas sans conséquences : à partir de 2025, les logements de catégorie G seront interdits à la location. Une échéance portée à 2028 pour ceux de catégorie F et à 2034 pour ceux de catégorie E.
Aussi, les propriétaires doivent effectuer des travaux de rénovation énergétique pour que leur logement puisse être loué et arborer une étiquette positive. Différents types de travaux peuvent ainsi être effectués :
Si vous souhaitez vous lancer dans des travaux de rénovation énergétique pour faire remonter votre logement dans le classement, sachez que vous pouvez prétendre à différentes aides financières pour alléger la facture finale :
L’énergie tout compris vous accompagne pour savoir quels sont les travaux les plus pertinents pour gagner en efficacité énergétique et en confort, et connaître les aides auxquelles vous êtes éligible.
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